ArcelorMittal publie l’index d’égalité professionnelle 2019 de ses sociétés en France.

Communiqué de presse

Egalité femmes-hommes chez ArcelorMittal en France : l’index s’établit à 82 points sur 100

L’index moyen des sociétés d’ArcelorMittal en France s’établit à 82 points sur 100, conformément à la méthode de calcul fournie par le Ministère du Travail et le Secrétariat d’Etat chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations.

Toutes les entités juridiques d’ArcelorMittal en France ont un index supérieur ou égal à 75 points sur 100.

Les salariées et salariés d’ArcelorMittal en France bénéficient notamment de bonnes performances sur les critères suivants :

  • De faibles écarts de rémunération entre femmes et hommes, avec un indicateur moyen de 37 points sur 40
  • Aucun écart entre les augmentations accordées aux femmes et aux hommes : 20 points sur 20
  • L’attribution systématique d’une augmentation aux femmes de retour de congé maternité : 15 points sur 15.

Les deux sociétés qui comptent les effectifs les plus importants (ArcelorMittal France et ArcelorMittal Méditerranée) enregistrent des index supérieurs à la moyenne française d’ArcelorMittal, avec respectivement 84 et 83 points sur 100. A elles deux, elles représentent près des deux tiers des salariés d’ArcelorMittal en France.

Les activités de R&D sont également particulièrement bien positionnées sur l’égalité femmes-hommes, avec un index de 88 points sur 100 pour la société ArcelorMittal Maizières Research, qui abrite le plus grand centre de recherche mondial d’ArcelorMittal, basé à Maizières-lès-Metz (57).

Les politiques volontaristes déployées par ArcelorMittal ont permis d’atteindre ces bons niveaux d’égalité professionnelle, et notamment de progresser par rapport à l’année dernière en particulier sur l’égalité d’augmentations et de promotions.

Attirer les talents féminins

Pour ArcelorMittal en France, être une femme dans l’industrie sidérurgique ne doit plus constituer une exception. Qu’elles soient responsables de production, techniciennes de maintenance ou directrices qualité, chercheuses en R&D ou apprenties, les femmes occupent aujourd’hui tous les métiers chez ArcelorMittal.

Aujourd’hui, ArcelorMittal en France compte 14,7 %* de femmes parmi ses salariés (CDI et CDD inclus), un pourcentage en hausse depuis 2014.

ArcelorMittal a pour objectif de soutenir l’égalité des chances et d’élargir encore son vivier de talents en recrutant et promouvant les femmes au sein de ses structures. Les femmes ont ainsi représenté 21 % des embauches en contrat à durée indéterminée (CDI) en 2019, contre 18 % l’année précédente.

Différentes actions sont également menées nationalement et localement pour promouvoir les métiers de la sidérurgie et changer son image afin d’encourager les femmes à rejoindre l’entreprise : interventions dans les collèges et les lycées, visites de sites, relations avec les grandes écoles, partenariat avec l’association « Elles Bougent », opération « Femmes de steel » sur le site de Fos-sur-Mer…

Rémunération : pas d’écart entre les femmes et les hommes

En termes de rémunération, au cours des négociations avec les partenaires sociaux,
une analyse est systématiquement réalisée sur les salaires par genre et par régime de travail, notamment temps plein et temps partiel.

Une étude commandée par ArcelorMittal à un cabinet indépendant a démontré fin 2018
qu’il n’y avait pas d’écart de rémunération significatif entre les femmes et les hommes cadres à l’échelle d’ArcelorMittal en France : environ 1 % à profil équivalent.

*au 31 décembre 2019


L’index d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes a été calculé pour 11 entités juridiques d’ArcelorMittal en France, représentant au total 95 % de l’effectif français. Cinq sociétés ne sont pas dans le périmètre de l’étude car elles emploient moins de 50 salariés, et l’index n’est pas calculable pour six autres sociétés dont les effectifs ne sont pas suffisamment mixtes pour permettre une comparaison entre femmes et hommes (trop peu d’hommes dans un cas, trop peu de femmes dans les autres cas).